Être premier sur Google – référencement naturel

Être premier sur Google référencement , nous oblige souvent à choisir entre le référencement naturel et le référencement payant et pour cause, le chemin le plus court est souvent de vouloir payer son référencement mais malgré des budgets très haut (minimum 200€/ mois) le ROI (retour sur investissement n’est pas là !) Voilà pourquoi même s’il est long et fastidieux le référencement naturel est incontournable.

 Etre premier sur Google référencement  ?

 

  • Définir sa requête cible, c’est se poser les bonnes questions :

Quelle est la requête ou le mot clef sur lequel je souhaite voir apparaître mon article en première page de Google?

Quel est l’intention des internautes que je cible lorsqu’ils saisiront cette requête dans la barre de recherche ?

Est-ce que je réponds correctement à leurs attentes et besoins ?

Voilà ce qu’il va falloir travailler, pour être premier sur Google référencement !

 

Attention : un synonyme ou un mot supplémentaire au sein de votre requête peut tout changer au niveau des résultats de Google !

Par exemple : « locations vacances Bordeaux » proposera des résultats différents de « locations Bordeaux ».

Pensez aussi que certaines requêtes sont plus demandées que d’autres et génèrent donc plus de trafic. Plus la requête est demandée, plus la concurrence est rude !

Dans ce cas, vous pourriez envisager de vous positionner sur une variante un peu moins demandée mais qui vous permettra de facilement et rapidement classer votre article sur la première page de Google.

L’analyse des résultats présents sur la première page de Google

 Analyser seulement la première page, celle que vous convoitez.

Cliquez sur les 3 premiers résultats naturels et observez.

Que proposent vos concurrents ? Pouvez-vous faire mieux ?

On ne regarde pas uniquement le contenu de la page pour être premier sur Google référencement mais aussi les  témoignages, backlinks, autorité du domaine, architecture du site, signaux envoyés par le site (impressions, ressentit) etc…

 

L’opérateur de recherche de Google

Site est un mot clef qui ajouté à un certain nombre de commandes Google va permettre d’obtenir des résultats de recherche très pertinents

 

Par exemple tapez dans Google search : site:votresite.com (sans espace ; sans protocole) et vous obtiendrez tous les résultats de votre site qui ont été indexés par Google.

 

opérateurs de recherche de Google.

L’opérateur : before

Pour obtenir des résultats avant une date fixe

Exemple : photomiso.net before:2016

 

L’opérateur : after

Pour obtenir des résultats après une date fixe

Exemple : photomiso.net after:2016

 

L’opérateur cache: suivi de l’URL à vérifier vous permettra de connaitre la date du dernier passage de Google pour le référencement :

Cache:photomiso.net

 

Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à redemander une indexation (rafraichissement) depuis votre compte Google Search Console de la manière suivante :

 

À l’onglet « Inspection de l’URL », saisissez l’URL de la page/article concerné.

Dans le champ en haut de l’écran.

Google vous confirme que l’URL est indexée : oui, mais elle n’est pas à jour pour l’instant !

Google vous pose la question Page modifiée ? => cliquez sur Demander une indexation.

Ce rafraichissement permettra de prendre en compte vos modifications plus rapidement.

 

L’opérateur filetype:

 

filetype: permet de trouver des résultats en fonction d’une extension spécifique de fichier.

Cela peut être utilisé pour rechercher des .png, des .jpg, des .txt, des .pdf, des .ppt etc.

 

Utilisé tout seul, cet opérateur ne sera pas vraiment efficace. Par contre, si vous l’associez à un mot-clé ou à une autre commande Google, cela peut devenir très intéressant.

 

3 – filetype: associé à un nom de domaine

filetype: peut être associé à un nom de domaine ou à un mot-clé et/ou une date

 

L’opérateur intitle:

suivi d’un mot-clé ou d’une série de mots-clés il vous renverra tous les résultats qui contiennent ce ou ces mots-clés dans la balise Title.

 

Exemple : intitle :formation batigest

 

  • La qualité du contenu de votre page ou article est capitale pour être premier sur Google référencement

 

Une fois que vous avez défini votre requête « de prédilection » et fait une analyse de vos concurrents les plus féroces, vous allez pouvoir commencer la rédaction.

 

La première astuce pour votre rédaction SEO est de proposer du contenu de haute qualité.

Cela signifie, avant tout, de publier du contenu 100 % unique, sans aucun copier-coller.

 

Si vous publiez du contenu qui provient d’autres sites (duplicate content), Google s’en rendrait vite compte et pourrait vous sanctionner.

 

  • La prépondérance du mot-clé dans votre article (voir Yoast référencement naturel)

 

Votre mot-clé ou « requête cible » doit être « prépondérante ».

 

La prépondérance d’un mot-clé est un ratio entre le nombre total de mots de votre article et le nombre de fois où votre requête y est mentionnée.

Si votre article fait 800 mots, vous pourrez mentionner votre mot-clé 7 à 8 fois par exemple, s’il fait 3500 mots, vous pourrez le mentionner une vingtaine ou une trentaine de fois de manière naturelle sans ennuyer votre lecteur.

 

D’abord placez votre requête au début de votre titre SEO : la Meta Title

Elle doit faire apparaître la requête que vous ciblez au tout début.

Par exemple, pour cet article :

Mon Titre H1 est « Comment référencer un article de blog sur la première page de Google ? »

 

Mais mon titre SEO (ma Meta Title) est « Première page de Google : le guide complet pour y placer vos articles ».

Voyez-vous la différence ?

Cette même requête doit apparaître dans la première phrase de votre introduction.

J’ai bien dit la « première phrase » et non le « premier paragraphe » comme le conseille Yoast SEO

 

C’est plus qu’important. J’ai vu des articles remonter dans les résultats quasi-instantanément lorsque je faisais ce genre de modification (dans la mesure où tout le reste de l’article était déjà bien optimisé).

 

Répétez autant de fois que possible votre requête tout au long de votre texte mais prenez soin de placer aussi des synonymes et des variantes.

 

Attention au Keyword Stuffing ! Pour cela, Yoast SEO est de bon conseil et mentionnera si la prépondérance est top élevée.

 

Espacez votre requête de plusieurs phrases. Évitez de la placer plusieurs fois au sein d’un même paragraphe par exemple.

 

Vous pouvez également placer cette série de mots-clés dans votre méta description

 

Optimisez votre URL (Permalien)  en y faisant apparaître votre mot-clé principal.

Pas besoin de faire apparaître la requête entière si celle-ci est trop longue, raccourcissez-la.

Avec tous ces indices, votre article sera bien « fléché » et Google comprendra en quelques secondes quel est le sujet principal de votre article.

 

 

  • La structure de l’article pour être premier sur Google référencement

 

La requête cible et les mots-clés sont importants, certes, mais la structure et la lisibilité de votre article le sont tout autant.

 

Ne rédigez pas des pavés de 5000 mots sans découper vos idées et vos propos en paragraphes hiérarchisés par des titres secondaires (H2).

 

Faites des phrases pas trop longues et faites des sauts de lignes, des mots en gras, des listes à puces.

Évitez la forme passive : écrivez « le chat mange la souris » plutôt que « la souris a été mangée par le chat ». Ainsi, votre discours sera moins lourd.

 

  • L’optimisation de vos images pour être premier sur Google référencement ( le poids est très important)

Il existe plusieurs solutions pour optimiser et obtenir des images libres de droits (Flickr) par exemple (sélectionnez « All Creative Commons » pour les images libres de droits).

 

D’autres sites ressources sont disponibles ici.

 

  • Comment optimiser ses images pour le web pour être premier sur Google référencement ?

 

Les DIMENSIONS :  Une image de 600 à 1000 pixels de largeur suffira amplement

La RÉSOLUTION : vos images peuvent avoir différents types de résolutions, de 72 à 400 DPI (ou PPP), c’est le nombre de « points par pouce » qui définit le grain et la qualité de l’image pour impression.

 

Pour le web, le type de résolution ne modifiera pas le poids de votre image, vous n’avez donc pas besoin d’agir sur ce critère.

 

La COMPRESSION : la plupart des logiciels de retouche d’images va vous permettre d’agir sur la qualité de compression selon un pourcentage donné. Si vous baissez ce pourcentage, de 100% à 80% par exemple (vous pouvez descendre jusqu’à 60%), votre image ne perdra pas énormément en qualité mais, par contre, elle s’allègera considérablement.

 

Le POIDS : il n’y a pas vraiment de poids « parfait » mais il est certain que vos images destinées à votre site web doivent être le plus léger possible. Idéalement, une image de moins de 100Ko serait un bon début.

Ensuite, ce qui doit être pris en compte, c’est le nombre d’images sur la même page web.

 

 

On va pouvoir agir d’abord avant le téléchargement sur WordPress

 

Nommer votre photo correctement. Vous ne devrez en aucun cas utiliser :

de caractères spéciaux (« #/@&(,!’+=.),de caractères accentués (éïèàêîâ…),de majuscules,

et vous devrez remplacer vos espaces par des tirets (les tirets du 6 – / pas les tirets du 8 _ appelés UNDERSCORE).

 

Par exemple : « menu-sucre-sale.jpg » et non « menu_sucré_&_salé.jpg ».

 

 

APRÈS le téléchargement de vos images dans WordPress :

 

Cela est la dernière phase de l’optimisation. Une fois que votre photo aura été importée dans la bibliothèque des médias, vous pourrez et devrez :

 

Changer son TITRE : le titre de la photo importée ressemblera à « menu-sucre-sale » et vous pourrez le remplacer par « Menu Sucré & Salé par mon blog culinaire »

En bref vous pourrez enfin utiliser des mots de tous les jours pour définir votre image c’est la différence entre le nom de fichier et le titre de l’image

 

Ajouter un TEXTE ALTERNATIF : (balise Alt) il est primordial d’ajouter un texte alternatif à vos images pour trois raisons. La première est que c’est important pour l’accessibilité, c’est à dire qu’un internaute mal voyant et utilisant un navigateur avec fonction vocale pourra connaitre le contenu de cette image.

La deuxième est que ce texte va servir à votre référencement naturel, pensez donc à y inclure votre ou vos mots-clé.

La troisième est que ce texte s’affichera lorsque le navigateur aura du mal à fournir vos images, notamment quand l’internaute a un mauvais réseau.

 

Renseigner la LÉGENDE et la DESCRIPTION : ces options sont facultatives. Si vous souhaitez qu’un texte apparaisse sous votre image, vous devrez renseigner la légende.

 

Pour résumer :

Redimensionnez vos images pour que la largeur soit comprise entre 600px et 1000px (même davantage selon l’utilisation de votre image) Compressez la qualité de l’image lors de l’export : de 100% à 80% par exemple. Renommez votre image convenablement : sans majuscules, sans accents, sans caractères spéciaux, sans espaces, sans underscores mais avec des tirets

Téléchargez vos photos dans votre site Renseignez vos images avec un titre et un texte alternatif contenant votre ou vos mots-clés.

 

 

  • Le maillage interne pour être premier sur Google référencement

 

Le maillage interne est plus qu’important, il est primordial et pourtant trop souvent sous-utilisé.

Le fait de faire des liens internes qui relient certaines pages de votre site à d’autres permet à votre lecteur de se rendre sur des articles connexes déjà traités, d’augmenter le temps resté sur votre site et permet à Google de mieux naviguer et comprendre vos mots-clés.

 

Comment ? Grâce aux ancres (balise ID) que vous choisirez pour faire le lien vers vos autres articles/pages.

Évitez donc de faire une ancre comme « lisez cet article » ou « rendez-vous ici » mais profitez plutôt de cette aubaine pour y placer de nouveaux mots-clés que vous varierez au fil du temps (évitez d’utiliser toujours les mêmes ancres, ça pourrait avoir l’air suspect).

 

  • Les liens externes

 

Concernant les liens externes – ceux que vous insérez au sein de vos textes et qui renvoient l’internaute vers d’autres sites – il existe une rumeur selon laquelle avoir des liens externes est mauvais pour le référencement.

Certes, il ne faut pas en abuser, mais les articles bien référencés possèdent toujours des liens externes de qualité.

 

Les backlinks (liens retour vers votre site) la notoriété !

On parle encore de liens ici… Rien à voir avec les liens du maillage interne ou des liens externes. Les backlinks sont des liens externes qui pointent vers votre site.

 

Soit vous payez : vous pouvez acheter des liens sur des plateformes spécialisées comme SEMJuice par exemple. C’est la méthode la plus facile et rapide mais pas la moins coûteuse.

 

Soit vous rédirigez un article invité : vous proposez à d’autres blogueurs de leur rédiger un article à publier sur leur site et vous en profitez pour y insérer un lien qui pointe vers l’un de vos articles. C’est une méthode généralement gratuite mais plus chronophage que la première.

 

Vous obtenez des liens naturels : d’autres blogueurs vont naturellement faire un lien vers l’un de vos articles. Pour y parvenir, ce n’est pas si simple. Vous devrez proposer un contenu de « haute voltige » et presque inégalable pour que quelqu’un d’autre ait envie de le citer en exemple mais c’est possible si vous suivez toutes les recommandations de cet article 😉

 

Vous pouvez aussi utilisez vos réseaux sociaux : Facebook, pinterest etc…

 

 

  • La longueur du contenu pour être premier sur Google référencement

 

Plus un article est long, plus Google le considère comme un article pertinent et intéressant.

 

Certains blogueurs n’ont pas peur : 2500, 5000, 10.000 mots !!!

 

  • Le cannibalisme

 

Pour permettre à Google de placer vos articles sur sa première page, vous devez impérativement ne pas vous faire du tord à vous-même.

 

C’est-à-dire, vous ne devez pas vous faire de l’auto-concurrence.

 

Lorsque vous rédigez un nouvel article, vous devez vous assurer que celui-ci ne viendra pas faire de l’ombre à l’un de vos articles déjà existant.

 

Même si votre site est positionné sur une « niche étroite » vous devez trouver le moyen de diversifier les sujets que vous traitez.

 

1 article = 1 sujet précis = 1 requête ciblée

 

  • Les interactions

 

Google et les réseaux ne sont pas directement liés dans le domaine du emarketing mais il existe un lien indirect.

C’est la théorie que vous trouverez dans cet article qui explique comment Pinterest peut influer sur vos positions dans Google.

 

Google favorise les articles qui sont beaucoup partagés. Plus un article a un nombre de partages important, au plus il devrait être bien référencé.

 

Insérez des boutons pour faciliter le partage, il existe des tas d’extensions WordPress pour cela. Monarch car je le trouve facilement paramétrable et customisable.

 

Optimisez vos articles pour Pinterest : insérez des images au format portrait et incitez vos lecteurs à les épingler sur leurs « Tableaux ».

 

LinkedIn est également un bon réseau pour partager des contenus de qualité.

Miser seulement sur 1 ou 2 réseaux peut être une bonne stratégie de départ.

Concernant Twitter, Facebook et Instagram : à vous de voir…

 

 

  • N’oubliez pas le sommaire !

 

Il favorisera le classement de votre article en première page de Google : l’affichage d’un sommaire en début d’article. Voir mon article sur cette manipulation.

 

Ces ancres internes ajoutent du poids SEO et permettent parfois d’obtenir des sitelinks dans les SERPs de Google.

 

 

  • Un site map pour Google :

 

 

Placez le à la racine du site (public_html) avec le gestionnaire de fichier ou l’accès ftp

 

  1.  à la racine du site : /sitemap. xml.

 

 

Si vous avez  Yoast toujours dans le dossier (public_html)

 

  1. si le site est sur WordPress et qu’il utilise Yoast SEO : /sitemap_index. xml.
  2. regarder dans le fichier /robots. txt si le fichier sitemap est déclaré (il peut y en avoir plusieurs)